Daniel Fidelin, président de TRANS.CITE de 2018 à 2020
Trans.Cité est une association d’une grande convivialité, presque familiale, ce qui aide indéniablement à l’intégration des adhérents et à la qualité du travail effectué. Mais c’est surtout une association d’un grand professionnalisme. La force de Trans.Cité, est de mettre face à face des élus et des directeurs de réseaux. Les échanges couvrent donc tout le spectre des questions de transport. Cela nous apporte beaucoup. Nous avons, par exemple, initié une étude, au Havre, pour préparer l'arrivée du bus électrique, et Trans.Cité nous a permis de la confronter aux retours d'expériences d'autres réseaux en France.
Guy Ferez, Membre du Bureau de TRANS.CITE de 2014 à 2020
Trans.Cité, c'est la rencontre de deux légitimités : la légitimité politique, qui est celle des élus qui ont en charge, notamment, le développement des mobilités, et de l'autre celle de l'opérateur. Or, l'époque nous pousse à réfléchir à l'évolution des mobilités au-delà de nos échanges quotidiens sur la gestion des réseaux, ce qui n'est pas quelque chose de simple. Trans.Cité permet cela. Le côté transpartisan est également important, car les problématiques que connaissent les territoires, chacun à leurs niveaux, sont identiques. La mobilité dépasse les clivages : qu'ils soient de droite ou de gauche, les élus se posent les mêmes questions. L'approche est avant tout territoriale et centrée sur le service rendu à la population. Il y a, de plus, une très bonne ambiance qui participe à la facilité et à la fluidité des échanges.
Jean-Marie Albouy, Membre du Bureau de TRANS.CITE de 2014 à 2020
La ville de Montereau-Fault-Yonne a adhéré à l’association en 1998. L'intérêt de Trans.Cité, c'est d’être ce laboratoire d'idées entre les élus, d'un côté, et les opérateurs, de l'autre. Il est intéressant de pouvoir discuter avec d'autres directeurs de réseaux, et de découvrir des réalisations concrètes faites sur différents territoires. Avec la visite de grands réseaux, ou de réseaux plus modestes, en France et à l’étranger, on peut, sans forcément faire du copier-coller, garder des idées, des concepts, se les approprier et les adapter localement. En 2002, nous avons ainsi créé une ligne circulaire qui s'appelle « Emplet express », qui est aujourd'hui très performante. Cette ligne est née de nos observations à Londres avec Trans.Cité, car les lignes circulaires étaient jusqu’alors une spécificité anglaise, absente en France.